Campagne présidentielle de 2011: 15 milliards pour la réelection de Boni Yayi
moins de deux ans de l’élection présidentielle de 2011, le très sérieux candidat à sa propre succession Boni Yayi, a déjà bouclé son compte de campagne. Ainsi, la rondelette somme de 15 milliards de francs Cfa a déjà été réunie pour ce faire. Les électeurs du scrutin présidentiel de 2011 peuvent commencer à lécher leurs barbichettes. Il y aura de l’argent à profusion pour eux et pour tout le monde.
Certains pourront s’acheter de belles villas et de belles voitures. D’autres pourront également se marier à plusieurs femmes et se permettre le luxe de s’envoyer en l’air toutes les heures avec plusieurs maîtresses. En effet, selon des sources d’informations très crédibles, le président de la République Boni Yayi qui veut briguer un second mandat, aurait déjà réuni la coquette somme de 15 milliards de francs Cfa pour sa campagne électorale. L’information est tenue secrète par une poignée de personnes très proches du chef de l’Etat. Cette somme servira comme dans toute campagne électorale à l’Américaine, à réaliser des spots publicitaires, à organiser des meetings, des caravanes et des concerts et à louer des véhicules, tout cela aux couleurs et sons des Cauris. Elle servira également, mais cette fois-ci à l’Africaine, à acheter la conscience des populations. Selon les mêmes sources, d’autres entrées de fonds sont attendues avant l’ouverture de la campagne présidentielle de 2011. Mais, les mêmes sources n’indiquent pas l’origine des fonds déjà encaissés pour la campagne du candidat Boni Yayi. Seulement dans ce genre de circonstance, on sait comment cela se passe. On fait un appel de fonds auprès de certains chefs d’Etat amis puis à autres manœuvres qu’il n’est pas indiqué de citer ici, pour renflouer les caisses de la campagne électorale. Dans tous les cas, il s’agit d’une somme d’argent qui vient à point nommé si l’on se réfère à la misère et la crasse dans laquelle vivent les populations caractérisées par les maladies, les inondations, crimes et autres infractions. Cette somme pourra soulager un tant soit peu cette frange de la population qui a tant souffert de la mauvaise gouvernance du régime du Changement. Pourvu qu’elle permette au chef de l’Etat de rempiler. Mais la Cour des Comptes et les mânes de nos ancêtres y veillent.
moins de deux ans de l’élection présidentielle de 2011, le très sérieux candidat à sa propre succession Boni Yayi, a déjà bouclé son compte de campagne. Ainsi, la rondelette somme de 15 milliards de francs Cfa a déjà été réunie pour ce faire. Les électeurs du scrutin présidentiel de 2011 peuvent commencer à lécher leurs barbichettes. Il y aura de l’argent à profusion pour eux et pour tout le monde.
Certains pourront s’acheter de belles villas et de belles voitures. D’autres pourront également se marier à plusieurs femmes et se permettre le luxe de s’envoyer en l’air toutes les heures avec plusieurs maîtresses. En effet, selon des sources d’informations très crédibles, le président de la République Boni Yayi qui veut briguer un second mandat, aurait déjà réuni la coquette somme de 15 milliards de francs Cfa pour sa campagne électorale. L’information est tenue secrète par une poignée de personnes très proches du chef de l’Etat. Cette somme servira comme dans toute campagne électorale à l’Américaine, à réaliser des spots publicitaires, à organiser des meetings, des caravanes et des concerts et à louer des véhicules, tout cela aux couleurs et sons des Cauris. Elle servira également, mais cette fois-ci à l’Africaine, à acheter la conscience des populations. Selon les mêmes sources, d’autres entrées de fonds sont attendues avant l’ouverture de la campagne présidentielle de 2011. Mais, les mêmes sources n’indiquent pas l’origine des fonds déjà encaissés pour la campagne du candidat Boni Yayi. Seulement dans ce genre de circonstance, on sait comment cela se passe. On fait un appel de fonds auprès de certains chefs d’Etat amis puis à autres manœuvres qu’il n’est pas indiqué de citer ici, pour renflouer les caisses de la campagne électorale. Dans tous les cas, il s’agit d’une somme d’argent qui vient à point nommé si l’on se réfère à la misère et la crasse dans laquelle vivent les populations caractérisées par les maladies, les inondations, crimes et autres infractions. Cette somme pourra soulager un tant soit peu cette frange de la population qui a tant souffert de la mauvaise gouvernance du régime du Changement. Pourvu qu’elle permette au chef de l’Etat de rempiler. Mais la Cour des Comptes et les mânes de nos ancêtres y veillent.