II m’est revenu que le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, faisant suite aux déclarations des syndicalistes qui ont accusé le gouvernement d’avoir empêché leur marche, a indexé comme suit la mairie de Cotonou : « La marche n’a pas reçu l’autorisation des autorités compétentes ». Face à cette situation, je voudrais porter à la connaissance des populations ce qui suit :
II m’est revenu que le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, faisant suite aux déclarations des syndicalistes qui ont accusé le gouvernement d’avoir empêché leur marche, a indexé comme suit la mairie de Cotonou : « La marche n’a pas reçu l’autorisation des autorités compétentes ». Face à cette situation, je voudrais porter à la connaissance des populations ce qui suit : La mairie de Cotonou est ampliataire, au même titre que le ministère de l’intérieur et de la sécurité publique et les Centrales syndicales, de l’arrêté N° 2/151/Dep-Atl-Litt /Sg/Stc-Cd/D du 20 juillet 2009, signé du Préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, qui stipule en ses articles 1er et 2, ceci « Est interdite la marche projetée pour le mardi 21 juillet 2009 à Cotonou par les Centrales syndicales Cstb, Csa-Bénin, Cgtb, Cosi et Unstb. Motif : Risque de troubles à l’ordre et la tranquillité publics. Le maire de la Commune de Cotonou, le directeur départemental de la Police nationale Atlantique-Littoral et le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de Cotonou sont, chacun en ce qui le concerne, chargés à l’application du présent arrêté qui sera communiqué et publié partout ou besoin sera ». Les lois sur la décentralisation faisant obligation aux communes d’observer les dispositions des arrêtés préfectoraux, la mairie de Cotonou n’a pu en conséquence, autoriser la marche. II apparaît alors clairement que le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique a fait économie de vérité. II devrait faire référence à l’arrêté préfectoral pris à la suite de ses propres instructions pour interdire cette marche. Cotonoise, Cotonois, Telle est la situation réelle concernant cette affaire. La clarification étant ainsi faite, je pense bien que cette équivoque est levée.
Pr le Maire de Cotonou & P.O. le 3ème Adjoint
Communique du maire de Cotonou
II m’est revenu que le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, faisant suite aux déclarations des syndicalistes qui ont accusé le gouvernement d’avoir empêché leur marche, a indexé comme suit la mairie de Cotonou : « La marche n’a pas reçu l’autorisation des autorités compétentes ». Face à cette situation, je voudrais porter à la connaissance des populations ce qui suit : La mairie de Cotonou est ampliataire, au même titre que le ministère de l’intérieur et de la sécurité publique et les Centrales syndicales, de l’arrêté N° 2/151/Dep-Atl-Litt /Sg/Stc-Cd/D du 20 juillet 2009, signé du Préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, qui stipule en ses articles 1er et 2, ceci « Est interdite la marche projetée pour le mardi 21 juillet 2009 à Cotonou par les Centrales syndicales Cstb, Csa-Bénin, Cgtb, Cosi et Unstb. Motif : Risque de troubles à l’ordre et la tranquillité publics. Le maire de la Commune de Cotonou, le directeur départemental de la Police nationale Atlantique-Littoral et le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de Cotonou sont, chacun en ce qui le concerne, chargés à l’application du présent arrêté qui sera communiqué et publié partout ou besoin sera ». Les lois sur la décentralisation faisant obligation aux communes d’observer les dispositions des arrêtés préfectoraux, la mairie de Cotonou n’a pu en conséquence, autoriser la marche. II apparaît alors clairement que le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique a fait économie de vérité. II devrait faire référence à l’arrêté préfectoral pris à la suite de ses propres instructions pour interdire cette marche. Cotonoise, Cotonois, Telle est la situation réelle concernant cette affaire. La clarification étant ainsi faite, je pense bien que cette équivoque est levée.
Pr le Maire de Cotonou & P.O. le 3ème Adjoint